Une fois de plus, la Justice d’extrême gauche embastille des militants patriotes

Il est à peine six heures du matin quand Eliot est réveillé par le bruit du bélier qui enfonce sa porte et par une vingtaine d’hommes en uniforme qui braquent sur lui leurs armes de service. Nous sommes le mardi 6 février à Lyon, une dizaine d’équipes de la BRI (la brigade de recherche et d’intervention) et de la SDAT (la sous-direction antiterroriste) pénètrent dans autant d’appartements, dont celui de sa fiancée.

À l’issue de ce raid matinal, exécuté avec une brutalité inouïe, neuf personnes ont été placées en garde à vue durant quatre jours pour la majorité d’entre eux. Qu’avaient donc fait ces jeunes gens pour mériter un dispositif policier digne des cellules islamistes les plus violentes ?

Le week-end du 11 novembre 2023, des antifas – qui avaient annoncé sur les réseaux sociaux leur intention de faire des expéditions punitives dans Lyon – ont agressé des militants nationalistes. S’en est suivi une bagarre où nos camarades ont dû se défendre contre des nervis déterminés à en découdre.


Ce soir-là, une dizaine d’antifas ont été interpellés avec des matraques
et des poings américains mais, grâce à la complicité de la justice,
ils sont ressortis libres sans aucune poursuite judiciaire.


Pourtant, ce n’est pas la version que les institutions et les médias ont choisi
de retenir et, de bourreaux, les attaquants sont devenus victimes.
Lors de l’audience qui s’est tenue le 9 février dernier, la juge a «oublié»
de mentionner que les antifas étaient armés et qu’ils appartenaient à la GALE (Groupe antifasciste Lyon et Environs) une organisation violente dissoute par Gérald Darmanin. La magistrate a reproché à Eliot «d’avoir gardé le silence en garde à vue» et le fait que «ses idéologies n’évoluent pas». Il ne lui en a pas fallu plus pour le placer en détention ainsi que deux de ses camarades.


Il s’agit là d’un grave abus de pouvoir et d’une instrumentalisation
de la justice au service d’une idéologie d’extrême gauche.

Nos camarades ne bénéficient d’aucune indulgence, d’aucun traitement de faveur. C’est pourquoi je compte sur votre générosité pour leur permettre de faire appel à de bons avocats et financer leur défense.
Donnez à Solidarité pour Tous!